J’ai appelé la police… puis j’ai sonné à la porte

Un choix désespéré, après des années de dettes, de menaces, de peur. Ils avaient simulé leur propre mort, changé de ville, changé de noms, et tout laissé derrière eux… y compris leurs enfants.

Le poids du silence

La police est arrivée peu après. J’ai raconté ce que je savais. Eux aussi. Aucun scandale, aucun cri. Juste un choc profond. Une fracture entre l’amour maternel, la trahison, et le pardon qui n’ose pas encore se dire.

Le plus dur ? Ce ne sont pas les explications.

C’est de devoir dire à deux petits cœurs innocents que leurs parents, qu’ils croyaient au ciel, étaient là tout près… mais qu’ils n’avaient pas voulu les revoir.

Pas tout de suite.

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