Attentes matrimoniales, valeurs familiales et doubles standards cachés dans une conversation sous le porche

Par un chaud après-midi du Sud profond, deux belles du Sud se balançaient doucement sur la vaste véranda d’une majestueuse demeure aux piliers blancs. Verres de thé sucré à la main, bercées par le chant des cigales, leur conversation s’orienta vers la famille, le mariage et les bienfaits de la vie – et des maris.

La Belle vantarde

La première dame, vêtue de lin impeccable et de perles, parlait avec une fierté tranquille.

« À la naissance de mon premier enfant », commença-t-elle, « mon mari m’a construit cette magnifique demeure. Chaque colonne, chaque planche de parquet cirée étaient son cadeau pour lui donner un héritier. »

La deuxième dame sourit poliment et répondit d’une voix douce et traînante : « Eh bien, n’est-ce pas joli ? »

Le premier continua : « Et quand mon deuxième enfant est né, il m’a acheté cette belle Cadillac, tout en chrome brillant et sièges en cuir. »

Encore une fois, la deuxième dame répondit gentiment : « Eh bien, n’est-ce pas joli ? »

« Et quand mon troisième enfant est né », dit le premier avec un sourire, « il m’a offert ce bracelet en diamants éblouissant. » Elle leva son poignet, laissant la lumière du soleil refléter les pierres scintillantes.

La deuxième dame, comme toujours, répondit : « Eh bien, n’est-ce pas joli ? »

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